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"Ces huit pratiques du nom de prajnaparamita je les ai pratiquées et pour cette raison j'ai réalisé la connaissance des quatres nobles vérités. Quelles sont ces quatre nobles vérités?
(1) La vérité de la souffrance. (2) La vérité de l'origine de la souffrance. (3) La vérité de la voie. (4) La vérité de la réalisation.
Ô moines! J'ai accompli cette noble attitude qui permet grâce à l'accomplissement d'atteindre l'éveil de la sagesse intuitive et l'ultime apaisement des obscurcissements, et finalement la réalisation de l'état de Bouddha! Moines, il y a la souffrance de la naissance et renaissance involontaire, il y a la souffrance de la vieillesse, la souffrance de la mort, la souffrance de devoir vivre avec ceux que l'on n'aime pas, la souffrance de la séparation d'avec ceux que l'on aime, la souffrance de ne pas obtenir ce que l'on veut. Moines, la raison de toutes ces souffrances est l'attachement à l'existence, la soif de vivre; rejetez la comme l'on rejette un crachat abject."

Les jours suivants, grâce à l'écoute et à la vérité des enseignements, mettant en application la parole du bouddha au moment même où ils entendaient l'enseignement, Kondafifa devînt le premier disciple du Bouddha: il pria le Bouddha de l'accepter comme disciple
- " Seigneur Bagawan Bouddha parfaitement accompli, prenez moi comme disciple!"
- "Viens, moine. Pratique la voie que je t'ai enseignée, c'est la seule voie salutaire. Débarrasse-toi de la souffrance!"
Les quatres moines ont suivi. En ce temps, le monde comptait uniquement six moines. Les cinq premiers disciples devinrent rapidement des Ahrat accomplis; en plus du groupe des cinq premiers, le sermon fut écouté par dix huit millions d'érudits et par un nombre incalculable de dieux.

Le jour suivant à l'aube, un messager du roi du royaume de Sarasvatti adressa un message au Bouddha (en ces temps anciens les messagers étaient de coutume). "Vous êtes invité au palais de Sa Majesté le monarque royal Pessenadi du royaume de Sarasvatti, et je vous prie humblement de me suivre: je serai votre serviteur tout au long du voyage". Le Bouddha approuva d'un signe de la tête et ils partirent ensemble après avoir laissé quelques instructions au moine disciple du Bouddha. Le roi Pessenadi vit pour la première fois le Bouddha dont la réputation maintenant dépassait la contrée. Mais le roi pris de fou rire lui fit part de son étonnement
" Eh! moine Shidarta Gautama du royaume de Kapilavasdu, puis-je vous faire part de mon étonnement?" L Bouddha approuva en lui faisant signe de la tête. "Les gens de mon royaume et au delà prétendent que vous êtes un Bouddha Bagawan parfaitement accompli; mais moi j'en doute, vu votre si jeune âge: vous me paraissez très jeune et je suis sceptique quant à vos prétendues réalisations"


Alors le Seigneur Bagawan Bouddha qui a connaissance de tous les objets de savoir lui répliqua:
- "Pesenadi, Votre Majesté, il y a une vérité qu'il faut que je vous enseigne, écoutez donc! Il y a dans le monde quatre choses qui ne doivent jamais être sous-estimées sous prétexte qu'elles sont jeunes et immatures!"
- "Quelles sont ces quatres choses?
- "La première: on ne doit jamais sous-estimer un feu sous prétexte qu'il est jeune; un jeune feu peut faire beaucoup de ravages, si l'on y prête attention son pouvoir n'est pas en rapport avec son âge!
La deuxième chose qu'il ne faut pas sous-estimer sous prétexte de son jeune âge est un guerrier, car malgré son jeune âge il peut faire couler beaucoup de sang, n'est-ce pas?
La troisième chose que l'on ne doit jamais sous-estimer sous prétexte de son jeune âge est un serpent; le venin d'un jeune serpent peut être aussi mortel que celui d'un vieux serpent, n'est ce pas?
Le quatrième objet qu'on ne doit pas non plus sous-estimer sous prétexte de son jeune âge est un moine! Même le plus jeune des moines peut être un Ahrat Bagawan malgré sa jeune apparence! Qu'as-tu à répliquer maintenant, roi de Sarasvatti?"
- "Je ne peux répliquer, je peux seulement vous dire que votre sagesse est grande et maintenant je ne sous-estimerai jamais plus aucune chose sous prétexte de son jeune âge!"

Après avoir passé la nuit au palais, sur le chemin du retour en direction du Parc des gazelles, le bienheureux arriva au bord de la rivière Ganga. En cette saison des pluies la rivière avait l'aspect d'un fleuve plutôt que d'une rivière! Le bienheureux voulant traverser la rivière, il demanda au passeur de lui accorder une place à bord du bac servant à traverser le fleuve tumultueux. Mais le bienheureux sans argent ne pouvant payer le passeur, celui-ci refusa catégoriquement d'embarquer le bienheureux! Alors le Bouddha estima qu'il était temps d'exposer ses pouvoirs dans cette époque d'impies sans foi ni respect. Alors à ce moment-là le bienheureux faisant apparaître un arc-en-ciel qui prenait source sur les deux rivages opposés marcha sur l'arc-en-ciel comme s'il s'agissait d'un pont! Le passeur surpris se prosterna pris de remords et pleura abondamment. Toutes les personnes présentes assistèrent également au miracle et la nouvelle parvînt rapidement au roi de Bénarès, qui promulga immédiatement une loi stipulant que tout religieux puisse embarquer à bord des bacs et traverser le fleuve Ganga gratuitement, et ce pour tout le temps de son règne et de celui de ses successeurs sur le trône.



De retour parmi la communauté des moines le bienheureux assista à une dispute entre les moines. Deux groupes de moines se querellaient pour des questions subalternes en rapport avec le réglement de discipline; Bouddha par deux fois essaya de calmer l'atmosphère devenue tendue, mais en vain. Comme la communauté des moines ne prêtait pas attention aux sages conseils du Bouddha, le bienheureux déçu partit se retirer seul dans la jungle, pour s'isoler dans la tranquillité de la nature et se ressourcer.
Il choisit un merveilleux endroit près d'une petite cascade et d'un petit lagon; on pouvait y apercevoir, parfois, la dorsale argentée de poissons émergeant de l'eau pour essayer de gober quelque insecte. Dans ce lieu bien tranquille, loin des agitations et des disputes humaines, le bienheureux parfois pouvait apercevoir aussi des oiseaux du paradis butinant le nectar des fleurs qui tombaient en grappe depuis le haut de la cascade .
Un matin que le bienheureux était assis en posture de méditation, son esprit concentré contemplant la vérité en soi qui ne dépend d'aucun objet, un éléphant d'une taille impressionnante vint vers lui. Le pachyderme s'inclina avec respect devant le bienheureux, et Bouddha lui donna le nom de Pali. L'éléphant était très serviable avec Bouddha, balayant les feuilles mortes avec sa trompe tout autour du bouddha. Et quand le bienheureux partait collecter quelque nourriture le pachyderme accompagnait le bouddha jusqu'au village, lui tenant son bol avec sa trompe, le bouddha assis sur son dos. Pendant la nuit Pali l'éléphant veillait avec un oeil alerte sur le Bouddha. Parfois Pali allait cueillir quelque mangue fraîche et des bananes pour les offrir au bouddha, enroulées dans une feuille de bananier. Un matin où comme tous les matins Pali le pachyderme balayait le lieu du bouddha, du haut de la cime d'un arbre un singe observa la scène. Le singe décida: "Moi aussi je veux faire une bonne action pour le bouddha. Ainsi par ce mérite je suis certain de me libérer


après cette existence animale, et ensuite d'accéder au statut supérieur, humain ou divin".
Le singe partit chercher du miel dans des ruches sauvages perchées très haut au sommet des arbres. Quand il eut collecté suffisamment de miel il l'offrit au bouddha. Pour qu'il n'y ait pas de jalousie entre le pachyderme et le singe, le bienheureux découpa des morceaux de mangue et les mélangea au miel. Le bienheureux mangea avec joie ce merveilleux mélange. Le singe fut si heureux de voir le bouddha apprécier son miel qu'il se mit à crier et à danser. Puis grimpant au sommet des arbres il se lança de branche en branche; une des branches se rompit et le singe tomba de si haut qu'il en mourut sur le coup. Mais grâce au mérite acquis auparavant par son offrande de miel le singe se réincarna au paradis des dieux et obtint un corps de deva supérieur.

Le temps passait paisiblement, le bienheureux et son ami Pali l'éléphant demeurèrent ensemble pendant toute la saison de l'automne.
Pendant ce temps au monastère le conflit entre les moines de la communauté ne faisait que s'envenimer et avait pris une telle ampleur qu'ils avaient fini par constituer deux clans ne se fréquentant pas. Les villageois des environs, donateurs principaux de nourriture, se plaignaient de l'absence du bouddha; et peu à peu ils comprirent sa raison. Les gens d'un commun accord arrêtèrent de faire des dons de nourriture à la communauté des moines. Pris de panique les moines très vite se réconcilièrent et décidèrent d'aller chercher le bouddha dans la jungle.
Le vénérable Ananda, cousin et disciple du bouddha, part à la recherche du bouddha, accompagné de quelques moines . Ils entrèrent dans la jungle; lorsqu'ils s'approchèrent du bouddha, Pali l'éléphant les prit pour des ennemis et chargea le groupe de moines, avec ses trois tonnes. L'ayant complètement apprivoisé, le bagawan lui donna l'ordre de laisser les moines tranquilles: "Pali, couché! Pas bouger ! Gentil, Pali!" et l'éléphant obéissant immédiatement se coucha par terre en signe d'obéissance. Le vénérable Ananda, après avoir raconté la fin du conflit dans la communauté des moines, pria le bouddha de revenir au monastère et dit que toute la communauté et les villageois attendaient son retour avec impatience. Bouddha consentit à retourner au monastère; quand ils s'apprêtaient à repartir, l'éléphant les en empêcha en leur barrant la route! Bouddha qui comprenait parfaitement le language des animaux fit la traduction: "Il tient à vous faire un don, restons une nuit ici pour lui faire plaisir". Pendant toute la nuit Pali alla cueillir des fruits et il les offrit à tous au petit matin. Ensuite le bouddha et les moines se mirent en route en direction du monastère. Pali tenait à les accompagner; Bouddha refusa et lui dit: "Tu dois rester dans la jungle: il n'y a pas de place pour toi parmi les humains, certains pourraient te faire du mal". Pali fut tellement attristé de voir le bouddha partir en le laissant seul , qu'il mourut de chagrin peu de temps après, refusant de se nourrir. À l'instar du singe il obtint une renaissance supérieure au paradis des dieux .


De retour au monastère tous les villageois et les moines organisèrent ensemble un rituel de prière de longue vie dédiée au bouddha. Les jours suivants le bouddha convoqua toute la communauté des moines afin d'organiser une conférence publique au lieu nommé Pic des vautours, pour le jour de la pleine lune. Ce jour venu, une assemblée de très nombreuses personnes sages - erudits, savants et moines - et de laïcs prit place en ce lieu, attendant le discours du bouddha. Le bouddha arriva, rayonnant de sagesse, et s'assit au lieu le plus élevé, afin d'avoir une vue sur l'ensemble des personnes présentes.les moines ignorant les pouvoir surnaturel du bouddha oranizaire Pour les personnes assises au fond, il y avait des moines répéteurs de parole: le premier moine écoute puis répète au second qui répète au troisième et ainsi de suite jusqu'à arriver au fond de l'assemblée; de sorte que toutes les personnes présentes puissent entendre les paroles du bouddha, même les personnes les plus éloignées (à cette époque il n'existait pas de micro). Mais par les pouvoir surnaturel du bouddha chaqu'un pouvait entendre le bouddha comme si il parler en face de vous meme si vous vous trouviez au fond du publique . Puis le bouddha commença son discours.
"Toute chose que vous percevez, que ce soit par la vue, le toucher, l'ouïe, l'odorat ou le goût, est dépourvue, dans sa nature essentielle, de toute caractéristique, vide d'attraction ou de répulsion; elle ne sont ni bonne ni mauvaise, elle ne sont que pure clartè luciditè de l'esprit sans caractéristique. Cette clartè lucide est egalement vide d'un soi existant que de non existence. Les concepts d'adhésions ou de rejets sont la cause des renaissances au sein de la roue de l'existence; si l'on demeure dans l'état d'esprit au delà de toute saisie, on est libre . Tous les êtres vivants sont soumis à la condition d'interdépendance, de causalité et d'effet."
"Vous plantez une graine de citron: inéluctablement vous obtiendrez un citronnier; de même pour tous les êtres vivants: leurs actes ne demeurent pas sans effets. Il n'y a aucun dieu régisseur de l'univers, la réalité de causalité le prouve.la forme et vide le vide et forme. La forme , les sensations les perceptions , les pensees et la consciance sont vide sans caracteristique ne naissent ni ne s'annihilent ne sont ni pur ni impur. C'est pourquoi dans le vide il n'y a ni forme ni sensation ni perception ni contact ni pensèe ni form ni son ext , ni element des organes ni ignorance ni cessation de l'ignorance ni obtention ni non obtention. C'est pourquoi du fait de leur absence d'obtention et ce qu'ils demeure dans l'etat d'esprit de lucide clartè transcendante les bouddha ont un esprit sans peur et sans trouble ". Puis le bouddha prononça le Sûtra de sanghata . ( a lire de la plus grande importance 7 page voire index de lecture )


<chapitre 4>
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